Quand ralentir fait peur Ralentir, ce n’est pas seulement faire une pause. C’est souvent affronter une peur plus profonde : celle de ne plus savoir quoi faire si l’on ne contrôle plus. Quand on ralentit vraiment, tout ce qu’on avait mis de côté remonte à la surface : les pensées confuses, le doute, la solitude, l’angoisse du vide. C’est un espace nu. Sans agitation pour nous distraire. Sans plan pour nous rassurer. Et pourtant… c’est exactement dans cet espace que peut renaître quelque chose de vrai. Le silence vous dérange ? C’est bon signe. Ce malaise n’est pas une erreur. C’est une invitation. Le mental lutte parce qu’il perd ses repères. Mais le corps, lui, sait. Il sait revenir à l’essentiel. Il sait se poser, sentir, vibrer, exister. Et c’est là que votre fréquence se clarifie. Quand vous ne cherchez plus à fuir. Quand vous permettez au calme de vous traverser, même s’il vous semble inconfortable au départ. Ce que vous activez quand vous restez Une respiration plus ple...